- Nom de votre personnage : Bründ
- Race, Classe et Niveau actuel : Orc, guerrier. Je ne suis encore que niveau je n'ai pas encore eu le temps de créer mon personnage.
- Métiers et niveau de ceux-ci :
- Motivations : Le rp, ça semble bien amrcher dans votre coin.
- Connaissance dans la guilde (si vous avez un piston, hesitez pas) :
( j'adore vos têtes )
- Background :
Je me nomme Bründ, ma vie n’a rien d’extraordinaire à proprement dit. Je viens d’une famille d’orc, tout ce qu’il y a de plus banal. Nous faisons partie du clan des Warsong, mon père a servi pour Grom en tant que monteur de Kodo, il sert aujourd’hui notre bien aimé chef Thrall depuis bientôt plus de 10 ans. Ma mère vit à la maison pour élever ses 3 enfants dont moi, qui suis le plus jeune. Ma sœur aînée est couturière, elle vend des vêtements pour se faire quelques pièces et mon frère, lui, est entrée dans la grande armée de Thrall. Il doit être quelque part dans les Tarides à l’heure où je vous parle.
J’ai également pu entrer dans l’armée, un de mes oncles a voulu me prendre sous son aile, disant que j’avais de bonnes prédispositions pour devenir chaman mais ce n’est pas ainsi que mon père voyait les choses. Il m’a fait entrer, il y a de ça quelques mois, dans l’armée. Dans la logistique, j’ai fini bûcheron dans la forêt sombre d’Ashenvale.
J’aurais voulu être quelqu’un d’autre, que serait devenu ma vie si mon oncle m’avait appris ce qu’il savait, et puis, pourquoi ne puis-je pas prendre les armes et apprendre ce qu’est le combat. Au lieu de ça, je manie une hache pour me battre contre des arbres, cela n’avait d’ailleurs pas l’air de plaire à ces créatures que l’on nomme elfe. Mon père en a vu autrefois, il les a combattues et s’est battu à leurs côtés. Je comprends pourquoi, nous, les orcs voulons nous battre mais je ne ne comprends pas pourquoi nous choisissons les mauvais ennemis.
Est-ce que nous nous battons pour du bois ? Pourquoi nous battons-nous contre ces humains qui sont souvent si divisés entre eux et qui parfois se retournent contre leur propre père, certes pour défendre un idéal … ? Pourquoi contre les nains … gardent-ils encore dans leur cœur une rancune pour les orcs qui un jour ont eu le malheur de sentir couler dans leurs veines la corruption de la Légion ? Pourquoi … ? Bien des questions auxquels je ne pourrais répondre.
Dans cette forêt, nous avons du repousser les attaques de quelques groupes d’allianceux. Nos défenses étaient minces et l’officier en place dut se résoudre à envoyer quelques péons sur le front, je me portai volontaire. Une chance pour moi de prouver au monde que je pouvais combattre avec honneur contre des ennemis mobiles, armés d’autres choses que de branches et de feuillages.
Nous arrivâmes à les repousser au final. L’officier nous ordonna d’achever les quelques blessés qui traînaient par ci par la. Je ne pus me résoudre à achever mon blessé, gisant derrière un arbre, je lui donnai à boire, l’elfette était mal en point. Elle me désigna un endroit à 200 mètres de la, je la pris sur mes épaules et l’y emmenai aussi vite que je le pusse (après,on dira que le français, c’est beau). C’était un bosquet, il s’ y trouvait 4 archères, la blessée dit un mot et elles m’épargnèrent ma misérable vie.
Le soir venu, ma tête était pleine, les idées s’y bousculaient. L’officier envoya une caravane vers Orgrimar et j’en fis partie. Dans notre belle capitale, notre Grunt nous donna une petite pause. Allez, savoir, ce qui m’a pris à ce moment, mes pas me conduisaient droit vers Thrall. Les esprits m’y conduisaient, j’en suis certain. Sans même m’en rendre compte, j’étais devant lui et je m’entendis dire devant notre chef : « Pourquoi ? ». Il resta stoïc et de toute sa noblesse d’âme, il me répondit ceci : « Je me suis posé les mêmes questions, jeune orc. Pourquoi combattre ceux que l’on ne veut pas combattre. Tu veux quitter mon armée, je t’en donnerai le droit, ton cœur libre sera plus utile à notre peuple qu’une hache en plus dans mes rangs. Va et suis ce que te dit ton cœur. Je ne peux répondre à tes questions, te devra trouver les réponses seul. »
A partir de la, tout s’est enchaîné, me voici avec un bouclier et une hache à la main et me voici, aussi chez vous, un peu par hasard. Car bizarrement, je pense aussi croire que les peuples d’Azeroth ne
sont pas la pour se faire la guerre.
Un jour, je reviendrai chez moi avec l’honneur d’être devenu quelqu’un de bien, celui que je désire être. Un orc qui se bat pour des valeurs qui sont les siennes.
(Un peu long, désolé)
Au plaisir.